A l'origine....
Je viens de voir le film de Xavier Giannoli, A l'origine
avec François Cluzet et Emmanuelle Devos.
Tant qu'à faire de vous dire des trucs sur ce blog autant vous en parler .
Le film, inspiré de faits réels, raconte l'histoire d'un escroc qui monte un chantier en espérant saisir la martingale.
Devant l'espoir qu'il suscite chez les salariés qu'il embauche, il finit par se laisser posséder par son rôle et par poursuivre son ouvrage.
L'histoire tient à la foi du Revizor, pièce de Gogol qui raconte l'arrivée d'un inconnu dans une bourgade que tous les habitants prennent pour le représentant du Tsar et du Docteur Knock, de Jules Romain, où un médecin parvient à envouter tout un village et ses alentours.
Rendons d'abord hommage à Cluzet qui joue un personnage haletant qui compose peu à peu son rôle de sauveur, voire de messie, puis à Emmanuelle Devos, la Maire du village qui attends tout du sauveur, une voix de velours. Nous avons ensuite ce couple aux mines et aux vois d'enants qui tentent de se frayer une place dans ce monde.
Ce que raconte ce film c'est combien ce monde capitaliste fonctionne sur la confiance, c'est àdire la duperie. Lorsque le patron parvient à payer ses salariés c'est en partie avec les pots de vin que ses fournisseurs lui ont offerts.
Il redistribue les plus value à qui de droit
Giannoli fait du chantier une oeuvre magnifique pur saisir ce lien social qui se créé par le travail. C'est de cela aussi qu'il s'agit, dire que le travail est aussi affaire de statut, de dignité.
Un dernier mot, le seul personnage qui parait mécontent dans cet affaire est le banquier.
Les scénaristes français ont tojours des problèmes de vraisemblance. Vous imaginez vous des banquiers victimes d'escroquerie ?
http://www.alorigine-lefilm.com/.
avec François Cluzet et Emmanuelle Devos.
Tant qu'à faire de vous dire des trucs sur ce blog autant vous en parler .
Le film, inspiré de faits réels, raconte l'histoire d'un escroc qui monte un chantier en espérant saisir la martingale.
Devant l'espoir qu'il suscite chez les salariés qu'il embauche, il finit par se laisser posséder par son rôle et par poursuivre son ouvrage.
L'histoire tient à la foi du Revizor, pièce de Gogol qui raconte l'arrivée d'un inconnu dans une bourgade que tous les habitants prennent pour le représentant du Tsar et du Docteur Knock, de Jules Romain, où un médecin parvient à envouter tout un village et ses alentours.
Rendons d'abord hommage à Cluzet qui joue un personnage haletant qui compose peu à peu son rôle de sauveur, voire de messie, puis à Emmanuelle Devos, la Maire du village qui attends tout du sauveur, une voix de velours. Nous avons ensuite ce couple aux mines et aux vois d'enants qui tentent de se frayer une place dans ce monde.
Ce que raconte ce film c'est combien ce monde capitaliste fonctionne sur la confiance, c'est àdire la duperie. Lorsque le patron parvient à payer ses salariés c'est en partie avec les pots de vin que ses fournisseurs lui ont offerts.
Il redistribue les plus value à qui de droit
Giannoli fait du chantier une oeuvre magnifique pur saisir ce lien social qui se créé par le travail. C'est de cela aussi qu'il s'agit, dire que le travail est aussi affaire de statut, de dignité.
Un dernier mot, le seul personnage qui parait mécontent dans cet affaire est le banquier.
Les scénaristes français ont tojours des problèmes de vraisemblance. Vous imaginez vous des banquiers victimes d'escroquerie ?
http://www.alorigine-lefilm.com/.